Emploi

En 2015, une étude menée à la NYU à New York a rapporté que les recruteurs décident d’embaucher un candidat durant les 16 premières minutes de l’entretien. 25% des recruteurs avaient même déjà pris leur décision dans les 3 premières minutes.
Ces statistiques montrent que l'instinct dans le recrutement est encore bien présent. Mais, les recruteurs peuvent commettre des erreurs dues à des biais cognitifs. Il est important d’en prendre conscience et de lutter contre ces biais afin d’être le plus impartial possible lors d’un entretien.

En 30 ans, la proportion d’actifs français ayant le sentiment de donner plus qu’ils ne retirent de leur travail a quasiment doublé, passant de 25% en 1993 à 48% en 2022 (sondage IFOP, 2022). Dans ces conditions, de nombreux actifs se résolvent à opter pour le “quiet quitting”. Cette tendance venue des Etats-Unis et popularisée par les réseaux sociaux est devenue un vrai phénomène de société. Qu'est-ce que le “Quiet quitting” ? Comment est née cette tendance et qui est concerné ? 

Le modèle traditionnel de recrutement dit « à la française » serait-il en train de vivre ses dernières heures ? En effet, la mondialisation, les nouvelles technologies et l’évolution de la culture d’entreprise tendent à faire pencher la balance du côté du recrutement à l’anglo-saxonne. 

De quoi s’agit-il exactement ? Quelles sont les différences avec notre manière de faire ?