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Et si la pierre n’était plus ce corps immobile ? et immuable ? Et si l’immeuble se transformait en un corps vivant ? Et si le bâtiment s’incarnait dans un corps organique dialoguant avec son environnement, la ville et ses citoyens ? Vous ne rêvez pas, l’immobilier dans toutes ses dimensions mue. Il mue dans sa conception qui devient bioclimatique. Il mue dans ses usages qui se diversifient, se complexifient et s’hybrident, créant du lien et des liens, tels des rhizomes. Il mue dans sa fonction et sa définition qui font de la biophilie une nouvelle religion du travail.
Cette révolution verte et vertueuse, elle débarque dans nos immeubles avec force et conviction. À plusieurs échelles. Architecturale, tout d’abord, avec l’aspiration d’imiter la nature et son écosystème. À l’échelle des aménagements, ensuite, avec la nécessité de penser des immeubles qui procurent du bien-être à leurs occupants, qui nourrissent ses usagers et qui peuvent même aller jusqu’à soigner. À l’échelle des usages, enfin, où l’histoire reste encore à écrire. L’immeuble vivant, c’est cette conception à 360° qui revisite les codes de l’immobilier traditionnel pour accoucher d’un immeuble vert, nourricier dans un monde de plus en plus urbanisé. Une nouvelle épure qui gagne du terrain en France. Un éveil aux cinq sens que peut inspirer le recours à certains matériaux tels que le bois.
Et après ? Il faut aller plus loin dans l’immeuble vivant, une nouvelle espèce en voie de création. Après le bâtiment qui produit, le bâtiment qui soigne, le bâtiment qui nourrit, il faut maintenant se pencher sur le berceau du bâtiment qui inclut. Qui inclut des actifs et des citoyens, qui inclut des jeunes et des moins jeunes, qui inclut des personnes handicapées et des personnes valides… Un nouveau produit, celui du bâtiment diverse, tout simplement à l’image de la ville métabolisme, pour reprendre le propos de l’architecte Philippe Chiambaretta.
Au sommaire :
interview² : Maud Caubet & Christophe Condamin
intendance : la révolution des usages a déjà commencé...
indesign : penser "out of the box"...
instantané : le dossier du printemps : le bâtiment et le vivant
inside : un nouveau lieu, c'est embarquer pour une nouvelle aventure...
+ d'infos
Et si la pierre n’était plus ce corps immobile ? et immuable ? Et si l’immeuble se transformait en un corps vivant ? Et si le bâtiment s’incarnait dans un corps organique dialoguant avec son environnement, la ville et ses citoyens ? Vous ne rêvez pas, l’immobilier dans toutes ses dimensions mue. Il mue dans sa conception qui devient bioclimatique. Il mue dans ses usages qui se diversifient, se complexifient et s’hybrident, créant du lien et des liens, tels des rhizomes. Il mue dans sa fonction et sa définition qui font de la biophilie une nouvelle religion du travail.
Cette révolution verte et vertueuse, elle débarque dans nos immeubles avec force et conviction. À plusieurs échelles. Architecturale, tout d’abord, avec l’aspiration d’imiter la nature et son écosystème. À l’échelle des aménagements, ensuite, avec la nécessité de penser des immeubles qui procurent du bien-être à leurs occupants, qui nourrissent ses usagers et qui peuvent même aller jusqu’à soigner. À l’échelle des usages, enfin, où l’histoire reste encore à écrire. L’immeuble vivant, c’est cette conception à 360° qui revisite les codes de l’immobilier traditionnel pour accoucher d’un immeuble vert, nourricier dans un monde de plus en plus urbanisé. Une nouvelle épure qui gagne du terrain en France. Un éveil aux cinq sens que peut inspirer le recours à certains matériaux tels que le bois.
Et après ? Il faut aller plus loin dans l’immeuble vivant, une nouvelle espèce en voie de création. Après le bâtiment qui produit, le bâtiment qui soigne, le bâtiment qui nourrit, il faut maintenant se pencher sur le berceau du bâtiment qui inclut. Qui inclut des actifs et des citoyens, qui inclut des jeunes et des moins jeunes, qui inclut des personnes handicapées et des personnes valides… Un nouveau produit, celui du bâtiment diverse, tout simplement à l’image de la ville métabolisme, pour reprendre le propos de l’architecte Philippe Chiambaretta.
Au sommaire :
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