Du F&B au… F’n’b
F&B : Ce n’est pas un nouveau genre musical. Ce n’est pas non plus un nouveau label. Ce n’est pas encore un nouveau vinyle. C’est peut-être tout simplement la clé pour réussir le mouvement contrapuntique entre le phénomène d’obsolescence des malls et l’aspiration à la réinvention des bureaux.
Nécessairement nourri d’influences anglo-saxonnes, le F&B fait une percée remarquée et remarquable sur la scène française. En scandant deux refrains polyphoniques qui sont autant d’ingrédients d’un succès annoncé?: l’assiette qu’il faut re-composer et le lieu qu’il est nécessaire de ré-écrire, en toute harmonie.
L’assiette fait clairement table rase d’un passé proche, celui de la culture industrielle, pour mieux renouer avec les basiques d’antan – le bio, le bon, le beau. Le lieu remonte tout en haut de la partition avec une portée qui fait de la place à l’enchantement et l’expérience. Une nouvelle musique qui prend beaucoup de libertés par rapport à l’existant et qui n’hésite pas à casser bien des codes.
Cette partition du F&B qui se joue aujourd’hui allegro dans une poignée de centres commerciaux et dans les grandes entreprises étendards pourrait aller crescendo un peu partout pour peu qu’on invente enfin le business model qui va avec. Dans les immeubles de bureaux multilocataires. Au cœur des retail parks périphériques. Dans le cœur des centres-villes de moyenne facture qui souffrent de désertification. Quand on vous dit que la Culture Food a littéralement envahi la France. Quoi de plus logique au pays de la gastronomie.
Au sommaire de ce numéro:
interview² : Alexandre Allard & Hubert De Malherbe
intendance : la révolution des usages a déjà commencé...
indesign : penser "out of the box"...
instantané : Le dossier d'été : food & beverage
inside : un nouveau lieu, c'est embarquer pour une nouvelle aventure...
+ d'infos
F&B : Ce n’est pas un nouveau genre musical. Ce n’est pas non plus un nouveau label. Ce n’est pas encore un nouveau vinyle. C’est peut-être tout simplement la clé pour réussir le mouvement contrapuntique entre le phénomène d’obsolescence des malls et l’aspiration à la réinvention des bureaux.
Nécessairement nourri d’influences anglo-saxonnes, le F&B fait une percée remarquée et remarquable sur la scène française. En scandant deux refrains polyphoniques qui sont autant d’ingrédients d’un succès annoncé?: l’assiette qu’il faut re-composer et le lieu qu’il est nécessaire de ré-écrire, en toute harmonie.
L’assiette fait clairement table rase d’un passé proche, celui de la culture industrielle, pour mieux renouer avec les basiques d’antan – le bio, le bon, le beau. Le lieu remonte tout en haut de la partition avec une portée qui fait de la place à l’enchantement et l’expérience. Une nouvelle musique qui prend beaucoup de libertés par rapport à l’existant et qui n’hésite pas à casser bien des codes.
Cette partition du F&B qui se joue aujourd’hui allegro dans une poignée de centres commerciaux et dans les grandes entreprises étendards pourrait aller crescendo un peu partout pour peu qu’on invente enfin le business model qui va avec. Dans les immeubles de bureaux multilocataires. Au cœur des retail parks périphériques. Dans le cœur des centres-villes de moyenne facture qui souffrent de désertification. Quand on vous dit que la Culture Food a littéralement envahi la France. Quoi de plus logique au pays de la gastronomie.
Au sommaire de ce numéro:
interview² : Alexandre Allard & Hubert De Malherbe
intendance : la révolution des usages a déjà commencé...
indesign : penser "out of the box"...
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