Belgique, une architecture négociée
Une fois par an, L’Architecture d’Aujourd’hui rend hommage à un pays en particulier, à travers son architecture. Pour son numéro 425, après la France en 2016 et l’Espagne en 2017, place cette année à la Belgique.
S’il y a bien une scène de plus en plus visible, c’est celle que composent, depuis quelques années, les V+,Hebbelinck, Baukunst, OFFICE, 51N4E… ou encore ADVVT – architecten de vylder vinck taillieu. S’il ne faut pas confondre les uns et les autres, Flamands et Wallons, jeune garde et vieux loups – qui parfois défendent des architectures irréconciliables – tous ont pour point commun d’avoir rendu ses lettres de noblesse, tout en lui offrant un rayonnement international, à une profession un temps honnie en Belgique.
Les architectes belges maîtrisent l’art du palimpseste autant que l’enveloppe budgétaire de leurs projets. Entre Histoire et histoires, audace et maîtrise, la scène belge est désormais gage de qualité, d’humanisme et de poésie.
Une fois par an, L’Architecture d’Aujourd’hui rend hommage à un pays en particulier, à travers son architecture. Pour son numéro 425, après la France en 2016 et l’Espagne en 2017, place cette année à la Belgique.
S’il y a bien une scène de plus en plus visible, c’est celle que composent, depuis quelques années, les V+,Hebbelinck, Baukunst, OFFICE, 51N4E… ou encore ADVVT – architecten de vylder vinck taillieu. S’il ne faut pas confondre les uns et les autres, Flamands et Wallons, jeune garde et vieux loups – qui parfois défendent des architectures irréconciliables – tous ont pour point commun d’avoir rendu ses lettres de noblesse, tout en lui offrant un rayonnement international, à une profession un temps honnie en Belgique.
Les architectes belges maîtrisent l’art du palimpseste autant que l’enveloppe budgétaire de leurs projets. Entre Histoire et histoires, audace et maîtrise, la scène belge est désormais gage de qualité, d’humanisme et de poésie.