Parasites
Rédacteur en chef invité : Tadashi Kawamata
Ayant convié un architecte en 2019 (Marc Barani, n° 432, septembre 2019), L’Architecture d’Aujourd’hui a choisi, pour son numéro de rentrée en 2020, de s’adresser à un artiste, Tadashi Kawamata. Dedans comme dehors, dedans et dehors, au sol, au ciel… Son champ d’invention est l’espace tout entier. S’il s’est accordé avec AA pour traiter le thème du « parasite », et le décliner à l’envi au fil des pages, c’est d’abord parce qu’il conçoit ses oeuvres comme des organismes dépendants d’autres organismes, de la ville principalement.
« L’oeuvre de Kawamata se nourrit de l’existant mais aussi, en retour, en change la perception. N’est-ce pas ainsi qu’il faille lire toute oeuvre construite? » souligne Emmanuelle Borne dans son éditorial.
Ce numéro, composé à quatre mains avec l’artiste, interrogera les différentes formes de «parasites» que recense l’architecture, de la maison souterraine de l’agence Ensamble à Minorique, aux structures « prothèses » de Recetas Urbanas, en passant par la « cellule parasite » de Jean-Louis Chanéac. Pour clore le numéro, le cahier Regards présente le travail de Charles Simonds, artiste à l’oeuvre protéiforme, Lang/Baumann, spécialistes de la «greffe urbaine» et les réflexions d’un parasitologue, Jean-Lou Justine, pour mieux explorer la thématique tentaculaire de ce numéro de rentrée.
PARUTION LE 11 SEPTEMBRE
Rédacteur en chef invité : Tadashi Kawamata
Ayant convié un architecte en 2019 (Marc Barani, n° 432, septembre 2019), L’Architecture d’Aujourd’hui a choisi, pour son numéro de rentrée en 2020, de s’adresser à un artiste, Tadashi Kawamata. Dedans comme dehors, dedans et dehors, au sol, au ciel… Son champ d’invention est l’espace tout entier. S’il s’est accordé avec AA pour traiter le thème du « parasite », et le décliner à l’envi au fil des pages, c’est d’abord parce qu’il conçoit ses oeuvres comme des organismes dépendants d’autres organismes, de la ville principalement.
« L’oeuvre de Kawamata se nourrit de l’existant mais aussi, en retour, en change la perception. N’est-ce pas ainsi qu’il faille lire toute oeuvre construite? » souligne Emmanuelle Borne dans son éditorial.
Ce numéro, composé à quatre mains avec l’artiste, interrogera les différentes formes de «parasites» que recense l’architecture, de la maison souterraine de l’agence Ensamble à Minorique, aux structures « prothèses » de Recetas Urbanas, en passant par la « cellule parasite » de Jean-Louis Chanéac. Pour clore le numéro, le cahier Regards présente le travail de Charles Simonds, artiste à l’oeuvre protéiforme, Lang/Baumann, spécialistes de la «greffe urbaine» et les réflexions d’un parasitologue, Jean-Lou Justine, pour mieux explorer la thématique tentaculaire de ce numéro de rentrée.
PARUTION LE 11 SEPTEMBRE