DISCOURS VŒUX 21 janvier 2016
par Régis Chaumont, président de l’Union des architectes (Unsfa)
Attention : il s’agit là de la trame du discours qui a été prononcé sans note
Bonsoir à tous,
Le nombre important de présents, la qualité de cette assemblée, la culture de chacun, la force de votre rôle social et la masse d’expériences qui se cumulent donnent à la cérémonie des vœux plus qu’une solennité.
Vous témoignez tous de l’influence que les architectes peuvent avoir sur le fonctionnement de notre société et de l’importance qu’il faut accorder à ce métier porteur de tant de valeurs.
Je ne crois pas qu’il y ait de profession, autre que la nôtre, qui rentre aussi profondément dans le cœur de la société. Les architectes font des écoles, des hôpitaux, des bâtiments administratifs, des cimetières, des commerces, des logements, des EHPAD, des gares, des hangars, des prisons, des maisons...
Et aussi des quartiers, des villes et des villages...
Tous ensembles, nous balayons les multiples recoins de la vie, dans toutes ses diversités.
Cela fait de notre communauté, la meilleure observatrice de notre société, celle qui voit notre pays sous toutes ses facettes de l’instant. En connaissant son passé et en imaginant son futur.
C’est notre communauté qui doit aider et agir dans la politique de l’environnement et du cadre bâti.
Celle qui peut servir la vie d’un pays, mieux que toute autre groupe.
C’est pourquoi je formule au nom de l’Unsfa et avant toute autre chose, que les architectes, pour servir la vie de notre pays, puissent faire vivre leur métier...et en vivre.
En cette presque fin du mois de janvier qui constitue pour beaucoup d’entre vous un marathon de vœux s’enchainant jour après jour, je remercie chacun de votre présence.
Et c’est la toute la force de votre témoignage : vous considérez qu’il est important, en vous réunissant ce soir, de marquer votre intérêt, d’exprimer une sympathie et bien souvent un fort et sincère engagement envers les architectes dont l’Unsfa est la 1ère représentation professionnelle.
Les vœux se suivent et s’enchainent. Ce soir, les architectes préparent l’année 2016. Nous allons donc œuvrer pour que cette nouvelle année porte haut et fort les ambitions de ce métier tellement au service notre société.
L’année 2015 a été marquée par de nombreux évènements, dont certains ont été extrêmement tragiques et ont ébranlé nos convictions et nos idéaux.
Il faut reconstruire la confiance et la foi en l’avenir si violemment attaquées en janvier et en novembre.
Les douleurs vécues, la brutalité de la disparition de nombreux concitoyens dont plusieurs architectes à qui nous rendons à nouveau hommage, doivent nous rendre plus forts pour bâtir et rebâtir notre société.
Que l’affliction qui nous a envahis renforce notre détermination à défendre les fondements d’un vivre ensemble civilisé.
Sortons vite de 2015, oublions ses douleurs. Par le souvenir et le respect, gardons vivantes nos valeurs.
Pour l’Unsfa, 2015 c’est s’inscrit dans la continuité des 5 années précédentes. Dans la continuité, mais aussi dans le progrès.
Rappelons que, sous les deux dernières présidences, la représentativité de l’Unsfa a grandement progressé. Que ce soit par l’augmentation du nombre d’adhérents, par l’intérêt et l’écoute que nous suscitons auprès des institutions ou par toutes les actions que nous avons entreprises et développées.
Ou que ce soit par la pertinence et la rapidité de nos réactions.
Nul n’aura besoin de demander un droit d’inventaire, à moins que ce ne soit pour constater que l’union des architectes est aujourd’hui plus forte que jamais.
Pour ces prochains mois, pour ces prochaines années, quels vœux formuler ?
Etymologiquement, le latin votum a donné, en transitant par l’anglais, les mots : vote et votation.
Pour 2016 et par votre vote, vous nous avez confié le mandat de diriger l’Unsfa. Par ce vote et pour ce vote, le bureau national se doit de satisfaire vos vœux.
Pour les conduire, les orienter, les diriger, rappelons les 4 axes qui structurent notre action :
1. La stratégie d’influence
2. L’action dans le paritarisme social
3. L’anticipation pour notre métier
4. La visibilité de la représentation syndicale
Après avoir défini ces dernières semaines, les actions à mener, les équipes se mettent en place. Il nous faut maintenant définir les méthodes et organiser les moyens pour mener à bien ce programme.
Je fais le vœu que votre engagement soit encore plus complet et combattif pour conserver notre Union au 1er rang des forces qui animent la défense et la promotion des architectes.
Rappelons l’essentiel des 4 axes :
La stratégie d’influence doit se construire en utilisant la densité des analyses et des études développées à l’Unsfa (Fiches politiques, travaux des commissions, articles dans Passion Architecture, ateliers et conférences des Congrès, contributions) Nous devons pouvoir réagir rapidement sur l’actualité juridique et l’actualité plus générale qui touche notre profession.
Nous voulons identifier et rassembler tous les femmes et hommes politiques qui se sont intéressés aux architectes.
Depuis 20 ans, 13 rapports ont traité de l’architecture et de ses acteurs:
Le rapport Campagnac 1996
Le rapport Sueur 1998
Le rapport Barré 1998
Le rapport Masboungi 2002
Le rapport Garcia & Grand 2003
Le rapport Peylet 2003
Le rapport Dauge 2004
Le rapport Tuot 2009
Le rapport Welhoff et Pérignon 2010
Le rapport Colboc 2012
Le rapport Feltesse 2013
Le rapport Sueur - Portelli 2014
Le rapport Bloche 2014
Rassemblons tous ceux qui ont marqué leur intérêt pour notre métier. Invitons- les en Conseil National.
Informons-les des réalités du terrain. Nos dirigeants en expriment le besoin et c’est nous qui vivons ce qui se passe au jour le jour. C’est une masse d’informations que les pouvoirs institutionnels doivent connaître pour pouvoir prendre les meilleures décisions. Développons également nos réseaux dans les établissements qui déterminent les choix techniques et politiques qui nous administrent.
En ce qui concerne l’action dans le paritarisme social, je souhaite que celle-ci fasse plus que gérer la relation entre nos salariés et nous, employeurs. Le chemin d’un architecte commence à la naissance de sa vocation et se poursuit par étapes, jusqu’à sa cessation d’activité. A chacune de ces étapes, les conditions de cette relation doivent apporter des solutions et des perspectives, dans les stages, dans la mise en situation professionnelle, dans la reproduction des savoirs, dans les conditions d’emploi, dans la transmission de nos entreprises. Il faut inscrire le paritarisme dans le projet de vie de nos entreprises.
Pour l’anticipation de notre métier, nous considérons le BIM comme l’élément essentiel de notre pratique de demain. Mais nous proposons également de construire des réseaux professionnels à même d’associer la diversité de nos compétences et de nos modes d’exercice. Que l’architecte isolé, au fond de la vallée de l’Ubaye et parlant chinois, puisse être identifié par telle ou telle agence qui cherche à conquérir les marchés de SHANGAI, que ceux qui ont l’expérience d’un logiciel ou d’un domaine puissent travailler ensemble. Que les références de concours dépassent le simple lien de proximité.
Nous voulons également faire préciser le cadre précis de nos responsabilités. Ces responsabilités correspondent aux garanties que nous devons apporter à nos maitres d’ouvrages. Nous sommes responsables parce qu’on nous fait confiance. C’est un honneur, mais cela ne doit pas être un frein à l’importance et à la qualité des services que nous pouvons apporter à chaque citoyen. Etre présent auprès de chacun, auprès du particulier, c’est réensemencer l’architecture sur tous les terrains, sur tous les territoires.
Et bien évidemment, nous voulons accroître la visibilité de notre représentation syndicale. En externe, pour faire gagner l’architecture par une totale reconnaissance des architectes et des multiples valeurs ajoutées qu’ils apportent à notre patrimoine, passé, présent et futur. En interne, pour que chaque architecte comprenne que l’action syndicale complète naturellement le rôle de notre ordre professionnel. La direction et l’administration de notre métier se fait au sein de l’Ordre et sous la tutelle de l’état. La défense, les propositions des architectes se construisent dans la réflexion et le travail syndical. Ce sont les moteurs de notre dynamisme et de notre réactivité. Ils s’appuient sur les acquis et projettent le futur. Les associations d’architectes y contribuent. Les réseaux sociaux multiplient ces discussions. Nous serons présents et réactifs dans ces débats qui ne doivent pas refaire le monde à chaque fois.
Tous les échanges sont bienvenus et nécessaires, mais il faut savoir nous fédérer, faire entendre notre voix. Notre démocratie confère aux syndicats la fonction essentielle de nous représenter. Nous savons capitaliser nos analyses et nos propositions. Ne nous dispersons pas et utilisons tous cette force.
Le second sens du mot vœu se rapporte aux souhaits.
Aussi, au nom de l’Unsfa je formule ce souhait que s’accomplissent de belles et bonnes choses pour vous et vos proches. Je vous remercie d’être là, vous qui vous associez à la vie de notre profession en la côtoyant, en l’organisant ou en la dirigeant, vous qui faites équipe avec nous, vous qui prenez les décisions qui nous gouvernent, vous qui être au cœur de son exercice.
Je m’adresse aussi aux nombreux architectes présents ce soir, ceux qui se sont engagés en prenant du temps sur des disponibilités qu’ils n’ont évidemment pas, je m’adresse à ceux qui défendent un métier qu’ils aiment, qui le font vivre -et ce soir je ne dirai pas survivre-
A vous tous qui portez l’ambition de notre fonction, à vous tous qui exercez votre travail au bénéfice de toute la société.
Merci également aux personnes qui nous accompagnent dans les actions et les événements que nous construisons, qu’ils soient associés à la vie de notre union ou qu’ils travaillent en permanence en son sein.
Chacun se sera reconnu par sa fonction, son travail et sa participation Vous faites preuve d’un engagement toujours vif et jamais démenti à faire vivre l’architecture, ce qui en porte les fondements et en construit les valeurs.
Comme nos prédécesseurs l’ont montré depuis la nuit des temps, Architecte est un métier d’avenir.
Très bonne année 2016.
Bonsoir à tous,
Le nombre important de présents, la qualité de cette assemblée, la culture de chacun, la force de votre rôle social et la masse d’expériences qui se cumulent donnent à la cérémonie des vœux plus qu’une solennité.
Vous témoignez tous de l’influence que les architectes peuvent avoir sur le fonctionnement de notre société et de l’importance qu’il faut accorder à ce métier porteur de tant de valeurs.
Je ne crois pas qu’il y ait de profession, autre que la nôtre, qui rentre aussi profondément dans le cœur de la société. Les architectes font des écoles, des hôpitaux, des bâtiments administratifs, des cimetières, des commerces, des logements, des EHPAD, des gares, des hangars, des prisons, des maisons...
Et aussi des quartiers, des villes et des villages...
Tous ensembles, nous balayons les multiples recoins de la vie, dans toutes ses diversités.
Cela fait de notre communauté, la meilleure observatrice de notre société, celle qui voit notre pays sous toutes ses facettes de l’instant. En connaissant son passé et en imaginant son futur.
C’est notre communauté qui doit aider et agir dans la politique de l’environnement et du cadre bâti.
Celle qui peut servir la vie d’un pays, mieux que toute autre groupe.
C’est pourquoi je formule au nom de l’Unsfa et avant toute autre chose, que les architectes, pour servir la vie de notre pays, puissent faire vivre leur métier...et en vivre.
En cette presque fin du mois de janvier qui constitue pour beaucoup d’entre vous un marathon de vœux s’enchainant jour après jour, je remercie chacun de votre présence.
Et c’est la toute la force de votre témoignage : vous considérez qu’il est important, en vous réunissant ce soir, de marquer votre intérêt, d’exprimer une sympathie et bien souvent un fort et sincère engagement envers les architectes dont l’Unsfa est la 1ère représentation professionnelle.
Les vœux se suivent et s’enchainent. Ce soir, les architectes préparent l’année 2016. Nous allons donc œuvrer pour que cette nouvelle année porte haut et fort les ambitions de ce métier tellement au service notre société.
L’année 2015 a été marquée par de nombreux évènements, dont certains ont été extrêmement tragiques et ont ébranlé nos convictions et nos idéaux.
Il faut reconstruire la confiance et la foi en l’avenir si violemment attaquées en janvier et en novembre.
Les douleurs vécues, la brutalité de la disparition de nombreux concitoyens dont plusieurs architectes à qui nous rendons à nouveau hommage, doivent nous rendre plus forts pour bâtir et rebâtir notre société.
Que l’affliction qui nous a envahis renforce notre détermination à défendre les fondements d’un vivre ensemble civilisé.
Sortons vite de 2015, oublions ses douleurs. Par le souvenir et le respect, gardons vivantes nos valeurs.
Pour l’Unsfa, 2015 c’est s’inscrit dans la continuité des 5 années précédentes. Dans la continuité, mais aussi dans le progrès.
Rappelons que, sous les deux dernières présidences, la représentativité de l’Unsfa a grandement progressé. Que ce soit par l’augmentation du nombre d’adhérents, par l’intérêt et l’écoute que nous suscitons auprès des institutions ou par toutes les actions que nous avons entreprises et développées.
Ou que ce soit par la pertinence et la rapidité de nos réactions.
Nul n’aura besoin de demander un droit d’inventaire, à moins que ce ne soit pour constater que l’union des architectes est aujourd’hui plus forte que jamais.
Pour ces prochains mois, pour ces prochaines années, quels vœux formuler ?
Etymologiquement, le latin votum a donné, en transitant par l’anglais, les mots : vote et votation.
Pour 2016 et par votre vote, vous nous avez confié le mandat de diriger l’Unsfa. Par ce vote et pour ce vote, le bureau national se doit de satisfaire vos vœux.
Pour les conduire, les orienter, les diriger, rappelons les 4 axes qui structurent notre action :
1. La stratégie d’influence
2. L’action dans le paritarisme social
3. L’anticipation pour notre métier
4. La visibilité de la représentation syndicale
Après avoir défini ces dernières semaines, les actions à mener, les équipes se mettent en place. Il nous faut maintenant définir les méthodes et organiser les moyens pour mener à bien ce programme.
Je fais le vœu que votre engagement soit encore plus complet et combattif pour conserver notre Union au 1er rang des forces qui animent la défense et la promotion des architectes.
Rappelons l’essentiel des 4 axes :
La stratégie d’influence doit se construire en utilisant la densité des analyses et des études développées à l’Unsfa (Fiches politiques, travaux des commissions, articles dans Passion Architecture, ateliers et conférences des Congrès, contributions) Nous devons pouvoir réagir rapidement sur l’actualité juridique et l’actualité plus générale qui touche notre profession.
Nous voulons identifier et rassembler tous les femmes et hommes politiques qui se sont intéressés aux architectes.
Depuis 20 ans, 13 rapports ont traité de l’architecture et de ses acteurs:
Le rapport Campagnac 1996
Le rapport Sueur 1998
Le rapport Barré 1998
Le rapport Masboungi 2002
Le rapport Garcia & Grand 2003
Le rapport Peylet 2003
Le rapport Dauge 2004
Le rapport Tuot 2009
Le rapport Welhoff et Pérignon 2010
Le rapport Colboc 2012
Le rapport Feltesse 2013
Le rapport Sueur - Portelli 2014
Le rapport Bloche 2014
Rassemblons tous ceux qui ont marqué leur intérêt pour notre métier. Invitons- les en Conseil National.
Informons-les des réalités du terrain. Nos dirigeants en expriment le besoin et c’est nous qui vivons ce qui se passe au jour le jour. C’est une masse d’informations que les pouvoirs institutionnels doivent connaître pour pouvoir prendre les meilleures décisions. Développons également nos réseaux dans les établissements qui déterminent les choix techniques et politiques qui nous administrent.
En ce qui concerne l’action dans le paritarisme social, je souhaite que celle-ci fasse plus que gérer la relation entre nos salariés et nous, employeurs. Le chemin d’un architecte commence à la naissance de sa vocation et se poursuit par étapes, jusqu’à sa cessation d’activité. A chacune de ces étapes, les conditions de cette relation doivent apporter des solutions et des perspectives, dans les stages, dans la mise en situation professionnelle, dans la reproduction des savoirs, dans les conditions d’emploi, dans la transmission de nos entreprises. Il faut inscrire le paritarisme dans le projet de vie de nos entreprises.
Pour l’anticipation de notre métier, nous considérons le BIM comme l’élément essentiel de notre pratique de demain. Mais nous proposons également de construire des réseaux professionnels à même d’associer la diversité de nos compétences et de nos modes d’exercice. Que l’architecte isolé, au fond de la vallée de l’Ubaye et parlant chinois, puisse être identifié par telle ou telle agence qui cherche à conquérir les marchés de SHANGAI, que ceux qui ont l’expérience d’un logiciel ou d’un domaine puissent travailler ensemble. Que les références de concours dépassent le simple lien de proximité.
Nous voulons également faire préciser le cadre précis de nos responsabilités. Ces responsabilités correspondent aux garanties que nous devons apporter à nos maitres d’ouvrages. Nous sommes responsables parce qu’on nous fait confiance. C’est un honneur, mais cela ne doit pas être un frein à l’importance et à la qualité des services que nous pouvons apporter à chaque citoyen. Etre présent auprès de chacun, auprès du particulier, c’est réensemencer l’architecture sur tous les terrains, sur tous les territoires.
Et bien évidemment, nous voulons accroître la visibilité de notre représentation syndicale. En externe, pour faire gagner l’architecture par une totale reconnaissance des architectes et des multiples valeurs ajoutées qu’ils apportent à notre patrimoine, passé, présent et futur. En interne, pour que chaque architecte comprenne que l’action syndicale complète naturellement le rôle de notre ordre professionnel. La direction et l’administration de notre métier se fait au sein de l’Ordre et sous la tutelle de l’état. La défense, les propositions des architectes se construisent dans la réflexion et le travail syndical. Ce sont les moteurs de notre dynamisme et de notre réactivité. Ils s’appuient sur les acquis et projettent le futur. Les associations d’architectes y contribuent. Les réseaux sociaux multiplient ces discussions. Nous serons présents et réactifs dans ces débats qui ne doivent pas refaire le monde à chaque fois.
Tous les échanges sont bienvenus et nécessaires, mais il faut savoir nous fédérer, faire entendre notre voix. Notre démocratie confère aux syndicats la fonction essentielle de nous représenter. Nous savons capitaliser nos analyses et nos propositions. Ne nous dispersons pas et utilisons tous cette force.
Le second sens du mot vœu se rapporte aux souhaits.
Aussi, au nom de l’Unsfa je formule ce souhait que s’accomplissent de belles et bonnes choses pour vous et vos proches. Je vous remercie d’être là, vous qui vous associez à la vie de notre profession en la côtoyant, en l’organisant ou en la dirigeant, vous qui faites équipe avec nous, vous qui prenez les décisions qui nous gouvernent, vous qui être au cœur de son exercice.
Je m’adresse aussi aux nombreux architectes présents ce soir, ceux qui se sont engagés en prenant du temps sur des disponibilités qu’ils n’ont évidemment pas, je m’adresse à ceux qui défendent un métier qu’ils aiment, qui le font vivre -et ce soir je ne dirai pas survivre-
A vous tous qui portez l’ambition de notre fonction, à vous tous qui exercez votre travail au bénéfice de toute la société.
Merci également aux personnes qui nous accompagnent dans les actions et les événements que nous construisons, qu’ils soient associés à la vie de notre union ou qu’ils travaillent en permanence en son sein.
Chacun se sera reconnu par sa fonction, son travail et sa participation Vous faites preuve d’un engagement toujours vif et jamais démenti à faire vivre l’architecture, ce qui en porte les fondements et en construit les valeurs.
Comme nos prédécesseurs l’ont montré depuis la nuit des temps, Architecte est un métier d’avenir.
Très bonne année 2016.