Villes du Golfe, modèles urbains ?
Fidèle à la longue tradition de monographies urbaines publiées par la revue, le nouveau numéro d’Urbanisme s’interroge sur l’existence d’un modèle des villes du Golfe Persique. Les diverses contributions mettent en évidence des points de convergence entre elles, qui relèvent d’ailleurs plus d’une uniformisation à l’œuvre à l’échelle mondiale. En témoigne par exemple la place jouée par les malls, gigantesques centres commerciaux, comme « espaces publics » où peuvent encore se croiser les nationaux et les résidents étrangers. Mais elles démontrent aussi la grande diversité de ces villes, ce qui amène à évoquer davantage « un patchwork de modèles urbains ». Les articles portent sur Dubaï, Abou Dhabi, Koweit City, Doha, Sarjah et le Sultanat d’Oman. Fils rouges de ces présentations : la part prise par des architectes d’exception ; la croyance dans les vertus de l’investissement immobilier ; le dialogue que ces cités-États instaurent avec l’ensemble du monde dans un dépassement Occident/Orient ; l’apparition de formes de cohésion sociale combinées à de vives inégalités sociales et juridiques et à un cosmopolitisme du passage.
Accéder au sommaire Urbanisme n°409
Fidèle à la longue tradition de monographies urbaines publiées par la revue, le nouveau numéro d’Urbanisme s’interroge sur l’existence d’un modèle des villes du Golfe Persique. Les diverses contributions mettent en évidence des points de convergence entre elles, qui relèvent d’ailleurs plus d’une uniformisation à l’œuvre à l’échelle mondiale. En témoigne par exemple la place jouée par les malls, gigantesques centres commerciaux, comme « espaces publics » où peuvent encore se croiser les nationaux et les résidents étrangers. Mais elles démontrent aussi la grande diversité de ces villes, ce qui amène à évoquer davantage « un patchwork de modèles urbains ». Les articles portent sur Dubaï, Abou Dhabi, Koweit City, Doha, Sarjah et le Sultanat d’Oman. Fils rouges de ces présentations : la part prise par des architectes d’exception ; la croyance dans les vertus de l’investissement immobilier ; le dialogue que ces cités-États instaurent avec l’ensemble du monde dans un dépassement Occident/Orient ; l’apparition de formes de cohésion sociale combinées à de vives inégalités sociales et juridiques et à un cosmopolitisme du passage.
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