Nouvelles figures du droit à la ville
Il y a cinquante ans, en mars 1968, paraissait Le droit à la ville, l’ouvrage d’Henri Lefèvre qui a marqué une génération d’étudiants, de professionnels de la ville, architectes et urbanistes. Ce texte fondateur connaît aujourd’hui une nouvelle actualité. Tout au long de l’année 2018, des colloques ont revisité la pensée d’Henri Lefèvre à l’aune des penseurs, en particulier anglophones tels que David Harvey, et des mouvements sociaux urbains, notamment latino-américains. Le droit à la ville est sorti de la sphère de la pensée pour devenir une revendication politique. Il a été mis à l’ordre du jour du Nouvel Agenda urbain mondial adopté à Habitat III, le sommet de l’ONU organisé à Quito, en 2016. Le droit à la ville, entendu comme un outil d’interrogation sur les conceptions et les pratiques urbaines, méritait bien que la revue Urbanisme revienne sur l’histoire de ce concept, sur sa circulation hors des frontières et sur sa vitalité nouvelle.
Accéder au sommaire Urbanisme n°412
Il y a cinquante ans, en mars 1968, paraissait Le droit à la ville, l’ouvrage d’Henri Lefèvre qui a marqué une génération d’étudiants, de professionnels de la ville, architectes et urbanistes. Ce texte fondateur connaît aujourd’hui une nouvelle actualité. Tout au long de l’année 2018, des colloques ont revisité la pensée d’Henri Lefèvre à l’aune des penseurs, en particulier anglophones tels que David Harvey, et des mouvements sociaux urbains, notamment latino-américains. Le droit à la ville est sorti de la sphère de la pensée pour devenir une revendication politique. Il a été mis à l’ordre du jour du Nouvel Agenda urbain mondial adopté à Habitat III, le sommet de l’ONU organisé à Quito, en 2016. Le droit à la ville, entendu comme un outil d’interrogation sur les conceptions et les pratiques urbaines, méritait bien que la revue Urbanisme revienne sur l’histoire de ce concept, sur sa circulation hors des frontières et sur sa vitalité nouvelle.
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