Bruyères: Extension d'un centre médical pour autiste
Description du projet
Dominé par les montagnes verdoyantes alentours, et au pied du lac de Sarrans, le bâtiment existant du 19° siècle fait front à l’esthétique violente de cette nature, par son histoire, sa stature, sa charge émotionnelle. Il semble s’être fait accepter, pour devenir un signe dans le paysage, havre de paix pour ses résidents.
Le projet propose une rénovation douce du bâtiment existant, et la création d’une extension sur la partie arrière de celui-ci. Le bâtiment accueille un centre médical spécialisé pour la prise en charge des autistes. Sa destination programmatique restera globalement inchangée.
L’enjeu principal fut la création d’une continuité physique pour les personnes à mobilité réduites dans la totalité du bâtiment, présentant à l’heure actuelle des différences de hauteurs de planchers importantes.
L’option d’une construction annexe, d’une greffe, a été choisie à celle d’une rénovation lourde, qui impliquait une démolition de l’ensemble des planchers pour réaliser une mise à niveau.
Le principe de la greffe, c’est lorsqu’un corps étranger fusionne avec l’entité présente.
C’est l’acceptation de l’autre pour former un « tout ».
Former un « tout », mais pas de manière homogène, travailler par contraste pour révéler un lieu, un bâtiment, une situation.
Ainsi, Le projet propose la construction d’une ossature légère, presque fragile à la manière d’un échafaudage qui viendrait flirter avec la colline, en opposition avec la massivité du bâti. Il agit comme un révélateur de la beauté des éléments naturels et artificiels. L’arrière du bâtiment est ainsi revalorisé. La colline abrupte, violente et sensuelle est mise en avant.
On ne considère plus une façade avant et un arrière, un bâtiment et une greffe, mais un seul élément, un « tout » !
Le projet propose une rénovation douce du bâtiment existant, et la création d’une extension sur la partie arrière de celui-ci. Le bâtiment accueille un centre médical spécialisé pour la prise en charge des autistes. Sa destination programmatique restera globalement inchangée.
L’enjeu principal fut la création d’une continuité physique pour les personnes à mobilité réduites dans la totalité du bâtiment, présentant à l’heure actuelle des différences de hauteurs de planchers importantes.
L’option d’une construction annexe, d’une greffe, a été choisie à celle d’une rénovation lourde, qui impliquait une démolition de l’ensemble des planchers pour réaliser une mise à niveau.
Le principe de la greffe, c’est lorsqu’un corps étranger fusionne avec l’entité présente.
C’est l’acceptation de l’autre pour former un « tout ».
Former un « tout », mais pas de manière homogène, travailler par contraste pour révéler un lieu, un bâtiment, une situation.
Ainsi, Le projet propose la construction d’une ossature légère, presque fragile à la manière d’un échafaudage qui viendrait flirter avec la colline, en opposition avec la massivité du bâti. Il agit comme un révélateur de la beauté des éléments naturels et artificiels. L’arrière du bâtiment est ainsi revalorisé. La colline abrupte, violente et sensuelle est mise en avant.
On ne considère plus une façade avant et un arrière, un bâtiment et une greffe, mais un seul élément, un « tout » !
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