En centre ville (Bourg-la-Reine - 92)
Description du projet
Logements en centre-ville
Malgré sa fragilité face aux nuisances, il conserve un charme certain, notamment grâce à la place Condorcet, marquée par la présence de l’église Saint Gilles et de la Mairie.
C’est à partir de cette idée que nous avons travaillé : «Affirmer la requalification contemporaine du centre tout
en renforçant son identité»
Pour cela nous avons considéré trois paramètres principaux :
- l’échelle des bâtiments et des vides,
- la mise en valeur des commerces dont la présence caractérise le centre,
- l’expressivité des matériaux.
Ceci nous a rapidement conduits à considérer que les commerces seraient fortement exprimés par un socle sur lequel se poseraient des bâtiments relativement découpés.
Le socle permet de gérer la pente et le contact aux existants, il assure une continuité sur rue.
Dans cet ensemble, l’intervention sur la place Condorcet revêt une importance particulière.
Le plan de masse donne un cadre défini à partir duquel travailler. Il introduit l’idée de la porosité entre les espaces publics et privés que nous avons reprise et décliné.
Le bâti cherche à exprimer diversité et rythme sans pastiche. Le fractionnement correspond à l’organisation volumétrique du projet, la ligne de ciel est découpée à différentes hauteurs.
Une faille rompt le linéaire du lot 5 et permet de laisser passer le soleil du matin avenue du Général Leclerc
et celui du soir dans la cour.
Au niveau du piéton, en complément de la placette qui sépare les lots 4 et 5 des porches ouvrent des vues
et laissent voir les jardins intérieurs.
Les façades sont composées avec sobriété «en grille» comme les bâtiments existants. Des inflexions et légers retraits des plans de façades, accompagnés parfois de changements de matériaux apportent une souplesse à l’ensemble tout en conservant la sobriété recherchée.
Des variations apparaissent dans la taille des percements accompagnant les changements de plans de façades.
La présence du socle en pierre sur ou deux niveaux permet une première décomposition de la hauteur complété par les éléments architectoniques qui marquent les attiques.
Le contraste entre les façades donnant sur les espaces publics et celles donnant sur les espaces intérieurs
est affirmé.
L’intériorité du projet est marquée par le caractère domestique des prolongements extérieurs.
Les percements sont plus importants, les balconsdonnent du confort aux logements.
Sur la place le bâtiment est une tête emblématique de la requalification en cours. Il est dimensionné et dessiné pour conforter la place, lui donner un fond de perspective.
L’idée de « renforcer la place » est déterminante, pour cela nous avons composé un ensemble urbain
qui incorpore l’immeuble post haussmannien en pierres, briques et céramiques.
Le raccord avec ce bâtiment est travaillé afin d’assurer à la fois la continuité par la hauteur du socle et sa matérialité, tout en gérant une transition volumétrique. C’est pourquoi la brasserie occupe les deux niveaux du socle.
Une écriture architecturale sobre marquée par le soin du détail
Sur les espaces publics la composition des façades en grille est rythmée par des changements de plans.
Les menuiseries extérieures sont réalisées en bois, le socle et le bâtiment sur la place habillés par une pierre calcaire autoportante de Saint-Maximin.
- Démarche urbaine du projet et parti architectural
Malgré sa fragilité face aux nuisances, il conserve un charme certain, notamment grâce à la place Condorcet, marquée par la présence de l’église Saint Gilles et de la Mairie.
C’est à partir de cette idée que nous avons travaillé : «Affirmer la requalification contemporaine du centre tout
en renforçant son identité»
Pour cela nous avons considéré trois paramètres principaux :
- l’échelle des bâtiments et des vides,
- la mise en valeur des commerces dont la présence caractérise le centre,
- l’expressivité des matériaux.
Ceci nous a rapidement conduits à considérer que les commerces seraient fortement exprimés par un socle sur lequel se poseraient des bâtiments relativement découpés.
Le socle permet de gérer la pente et le contact aux existants, il assure une continuité sur rue.
Dans cet ensemble, l’intervention sur la place Condorcet revêt une importance particulière.
- L’échelle du bâti
Le plan de masse donne un cadre défini à partir duquel travailler. Il introduit l’idée de la porosité entre les espaces publics et privés que nous avons reprise et décliné.
Le bâti cherche à exprimer diversité et rythme sans pastiche. Le fractionnement correspond à l’organisation volumétrique du projet, la ligne de ciel est découpée à différentes hauteurs.
Une faille rompt le linéaire du lot 5 et permet de laisser passer le soleil du matin avenue du Général Leclerc
et celui du soir dans la cour.
Au niveau du piéton, en complément de la placette qui sépare les lots 4 et 5 des porches ouvrent des vues
et laissent voir les jardins intérieurs.
Les façades sont composées avec sobriété «en grille» comme les bâtiments existants. Des inflexions et légers retraits des plans de façades, accompagnés parfois de changements de matériaux apportent une souplesse à l’ensemble tout en conservant la sobriété recherchée.
Des variations apparaissent dans la taille des percements accompagnant les changements de plans de façades.
La présence du socle en pierre sur ou deux niveaux permet une première décomposition de la hauteur complété par les éléments architectoniques qui marquent les attiques.
- L’échelle des vides
Le contraste entre les façades donnant sur les espaces publics et celles donnant sur les espaces intérieurs
est affirmé.
L’intériorité du projet est marquée par le caractère domestique des prolongements extérieurs.
Les percements sont plus importants, les balconsdonnent du confort aux logements.
- Les articulations avec les espaces publics et le bâti existant
Sur la place le bâtiment est une tête emblématique de la requalification en cours. Il est dimensionné et dessiné pour conforter la place, lui donner un fond de perspective.
L’idée de « renforcer la place » est déterminante, pour cela nous avons composé un ensemble urbain
qui incorpore l’immeuble post haussmannien en pierres, briques et céramiques.
Le raccord avec ce bâtiment est travaillé afin d’assurer à la fois la continuité par la hauteur du socle et sa matérialité, tout en gérant une transition volumétrique. C’est pourquoi la brasserie occupe les deux niveaux du socle.
Une écriture architecturale sobre marquée par le soin du détail
Sur les espaces publics la composition des façades en grille est rythmée par des changements de plans.
Les menuiseries extérieures sont réalisées en bois, le socle et le bâtiment sur la place habillés par une pierre calcaire autoportante de Saint-Maximin.
A propos de l'agence ATELIER D'ARCHITECTURE BADIA BERGER
Présentation
Comme des voyageurs nous aimons que les architectures nous parlent d’une société, d’une histoire, d’une culture, d’un ciel et de sa lumière, d’un sol, de la rigueur de l’hiver ou la chaleur de l’été. Nous aimons celles qui donnent un sens à leur existence, celles qui se risquent à proposer des formes offertes au mouvement des désirs humains. Aucun de nos projets n’est semblable, tous sont conçus autour des valeurs attachées au plan, pour sa fluidité et sa permissivit...
Activité
Architectes
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