Marne la vallée - Gymnase de la Haute-Maison
Description du projet
Le seul problème, c'est de voir. Alexander Calder
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En un lieu improbable, résultant du déménagement généralisé du territoire; hésitant entre le tracé classique induit par le château de Champs sur Marne et celui, routier, issu de la technostructure ayant présidée au devenir de la ville nouvelle de Marne la Vallée, le terrain étriqué dévolu à cet équipement majeur de l’Université, attendu depuis 15 ans, est entouré d’une végétation se voulant régénératrice, mais se révélant à l’usage, au mieux anecdotique, au pire anxiogène.
Ce terrain s’avère, par ailleurs argileux, avec un dénivelé de 3 m et parti prenante d’un découpage de type “exposition universelle”, chaque parcelle recevant son objet iconographique, Jourda côtoyant Tchumi et Perrault.
Le projet réalisé s’empresse de contourner le programme qui imposait un RDCH, pour proposer un volume sur deux niveaux, absorbant le dénivelé et dégageant un jardin intérieur, dévolu à la danse et à la gymnastique.
Ce grand volume unitaire affirme son statut d’Arche, rescapée d’un désastre urbain. Il est clair que sa fragile passerelle d’accès peut à tout instant être levée.
En hommage à l’élégante aiguille de Kowaski, le projet étant implanté sur l’axe de la Terre, celui-ci se prolonge sous forme de coursive, propice aux errances étudiantes, affirmation d’un lieu ouvert; cette utopie d’un autre siècle.
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En un lieu improbable, résultant du déménagement généralisé du territoire; hésitant entre le tracé classique induit par le château de Champs sur Marne et celui, routier, issu de la technostructure ayant présidée au devenir de la ville nouvelle de Marne la Vallée, le terrain étriqué dévolu à cet équipement majeur de l’Université, attendu depuis 15 ans, est entouré d’une végétation se voulant régénératrice, mais se révélant à l’usage, au mieux anecdotique, au pire anxiogène.
Ce terrain s’avère, par ailleurs argileux, avec un dénivelé de 3 m et parti prenante d’un découpage de type “exposition universelle”, chaque parcelle recevant son objet iconographique, Jourda côtoyant Tchumi et Perrault.
Le projet réalisé s’empresse de contourner le programme qui imposait un RDCH, pour proposer un volume sur deux niveaux, absorbant le dénivelé et dégageant un jardin intérieur, dévolu à la danse et à la gymnastique.
Ce grand volume unitaire affirme son statut d’Arche, rescapée d’un désastre urbain. Il est clair que sa fragile passerelle d’accès peut à tout instant être levée.
En hommage à l’élégante aiguille de Kowaski, le projet étant implanté sur l’axe de la Terre, celui-ci se prolonge sous forme de coursive, propice aux errances étudiantes, affirmation d’un lieu ouvert; cette utopie d’un autre siècle.
A propos de l'agence JEAN BONNEMAISON
Activité
Architectes