D'architectures n°247
Publié le 01 septembre 2016
ÉDITORIAL / Power to the people vs Trump Tower
On pourrait s’amuser à composer une vision manichéiste du monde du bâtiment : il y aurait d’un côté la générosité, l’humilité et la contrition du péché moderniste (comprendre low cost, développement durable et démocratie participative). Une posture qui a trouvé une forme d’accomplissement à la dernière Biennale de Venise. De l’autre, il y aurait l’égoïsme, l’ostracisme, l’apologie de l’argent et l’ostentation du pouvoir qu’elle permet d’exerce...
On pourrait s’amuser à composer une vision manichéiste du monde du bâtiment : il y aurait d’un côté la générosité, l’humilité et la contrition du péché moderniste (comprendre low cost, développement durable et démocratie participative). Une posture qui a trouvé une forme d’accomplissement à la dernière Biennale de Venise. De l’autre, il y aurait l’égoïsme, l’ostracisme, l’apologie de l’argent et l’ostentation du pouvoir qu’elle permet d’exerce...